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28 avril 2020, par L’âne enluminé
Les nuages peignent sans relâche l’espace céleste de fantasmagories infinies, la lumière et l’eau jouent comme des enfants à iriser l’azur. Cela surgit, cela s’estompe.
Pour qui dansent les sphères ?
Muse, chante au cœur de l’homme, chante encore comme tu as chanté dans le cœur de l’artiste qui sculpta ce chapiteau un jour de 1136, comme dans cette main qui tisse sans repos le bestiaire chatoyant d’un tapis.
Chante, comme en cette voix inspirée invitant les enfants de tous les âges (...)