Cher Guibô,
Cette réflexion "naïve" faisait preuve d’une vision très pertinente de la valeur de l’économie réelle, en ce sens, qu’elle mettait en avant l’indispensable morale nécessaire à toute oeuvre humaine, même dans ce monde sans scrupules de la finance. Pour preuve lire l’article du Monde daté dimanche 19 - lundi 20 octobre 2008 reprenant le dernier chapitre du livre de John Kenneth Galbraith "Brève histoire de l’euphorie financière" (Seuil 2007). Encore Merci pour ces Réflexions "naïves" sur l’économie de ce monde.