bonsoir Ruadh
J’ai pour vous ce texte d’Aurélia cité dans une étude du "Cahier de l’Herne" consacré à Nerval dans le chapitre d’Anne-Marie Amiot nous donnnant une lecture martiniste d’Aurélia :
"Un être d’une grandeur démesurée - homme ou femme je ne sais ,voltigeait péniblement au dessus de l’espace et semblait se débattre parmi les nuages épais. Manquant d’haleine et de force, il tomba enfin au milieu de la cour obscure, accrochant et froissant ses ailes le long des toits et des balustres".C’est ici la chute de l’Ange androgyne, symbolique de celle de l’Esprit "Etouffé" dans le (...)