Il, elle... ! N’est-ce pas la reconnaissance d’une fausse dualité, l’acceptation d’une fusion au fond de notre cœur qui nous fait côtoyer le merveilleux...
« Je m’étonne de l’amoureux dont les beautés
miroitent dans fleurs et jardins ! »
Et moi à elle : « Ne t’étonne pas de qui tu vois,
Ce que tu as vu est toi-même dans le miroir d’un homme ! »
Ibn’Arabî