En concordance avec les aphorismes de Louis Lambert :
"Job prit la parole et dit : "Je voudrais qu’on écrive ce que je vais dire, que mes paroles soient gravées sur le bronze avec le ciseau de fer et le poinçon, qu’elle soient sculptées dans le roc pour toujours. Je sais, moi, que mon libérateur est vivant, et, qu’à la fin, il se dressera sur la poussière des morts ; Avec mon corps, je me tiendrai debout et de mes yeux de chair, je verrai Dieu. Moi-même je le verrai, et quand mes yeux le regarderont, il ne se détournera pas."