"Il n’y a pas de séparation entre les plans." |
13 juin 2011, par Antinoüs
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J’aime ce texte car il me fait souvenir d’expériences surprenantes.
Je me promène souvent à Paris dont je connais bien l’histoire et selon mon état d’esprit - je pourrais dire : ma tranquillité intérieure, l’ouverture de ma marche - il m’arrive parfois d’être submergé par des sensations très "impressionnantes" - je veux dire : qui font sur moi forte impression.
C’est assez difficile à expliquer. Cela peut être une sorte de profond "mal être" en traversant la place de la Concorde et je me sais alors en résonance avec l’époque de la Terreur et la guillotine qui fonctionna sans discontinuer de nombreux jours en cet endroit.
Mais cela peut être aussi en cette même place une "vibration fondatrice et ensoleillée" qui me happe et je salue alors l’obélisque de Louksor pour ce qu’il transmet ici.
Bien sûr, d’aucuns diront que c’est ma connaissance intellectuelle des lieux qui est à l’origine de ces "ressentis". Mon intellect n’a aucun argument pour ne pas être d’accord avec eux...
Mais, je sais, moi, qu’il en est autrement, parce que ces "impressions" arrivent avec une "vitalité" - une Vie - que je ne peux décrire. Et c’est ensuite que je les associe à un fait de l’Histoire que je connais.
D’ailleurs, cela m’arrive bien sûr en des lieux que je connais mal : j’y suis "vraiment bien" ou alors "mal à l’aise"... Je pense que tout le monde connaît cela, non ?
Ce texte de Raymond Bernard me parle de ces expériences, leur donne un éclairage nouveau et m’invite à penser que je ne suis sans doute pas au bout de mes "surprises"... C’est pourquoi, j’ai plaisir à le lire... à le relire...
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"Il n’y a pas de séparation entre les plans." |
21 mai 2011, par Gontrand
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Pour ceux qui s’intéressent aux voyages dans le temps il y a le témoignage du fameux docteur X ( Le monde inconnu N°58-Février 1985) qui raconte 2 aventures dans le PARASCIENCES N° 52 d’Octobre 2003 .
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"Il n’y a pas de séparation entre les plans." |
21 mai 2011, par Azalaïs
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"Dimension" a un sens mathémathique et physique très précis. On peut l’étendre de manière métaphorique aux réalités psychiques et spirituelles, mais il faut avoir conscience que c’est une métaphore : le nombre de dimensions définit un espace et rien d’autre.
Par contre les plans dont parle Raymond Bernard correspondent plutôt à la perception que nous avons de l’univers et des vivants qui le peuplent. Un oiseau entend des sons qui échappent à notre oreille. Un chat verra peut-être les fées qui échappent à notre regard. Dans la Bible, il y a l’histoire de l’ânesse qui perçoit l’Ange que son maître Balaam, pourtant prophète, ne voit pas. Le réel est plus complexe que nos sens même éveillés par la méditation et autres exercices ne peuvent nous le montrer.
Au moyen-âge, quand la fenêtre sensorielle s’élargissait, on disait : "j’ai vu les cieux s’ouvrir"... En fait, c’est l’oeil de l’homme qui s’ouvrait.
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"Il n’y a pas de séparation entre les plans." |
12 mai 2011, par Dorane Aour.
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Bonjour,
J’aimerais que quelqu’un me dise si les plans parallèles de Monsieur Raymond Bernard, correspondent au 4ème et 5ème dimensions dont parlent actuellement beaucoup d’écrits.
Comment peut on accéder à ces plans ?
Quelles sont les conditions dont parle Monsieur Bernard ? Comment le hasard peut -il intervenir dans tout cela ?
Merci de votre réponse.
Dorane Aour.
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"Il n’y a pas de séparation entre les plans." |
12 mai 2011, par Isaac Plotain
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Raymond BERNARD en tant qu’ésotériste spiritualiste et Grand Initié nous affirme qu’il n’y a pas de séparation entre les plans. C’est la fréquence de la vibration qui fait la différence, un peu comme les ondes radio.
Je suis tout à fait d’accord avec ce que dit Raymond Bernard. La seule différence entre les plans parallèles est la fréquence vibratoire de chacun. Tous les plans sont constitués d’atomes imbriqués les uns dans les autres. La fréquence vibratoire correspond au nombre de tours que fait l’électron autour du noyau chaque seconde. Pour un plan plus élevé en fréquence, les électrons sont plus proches du noyau. Il en résulte que l’énergie cosmique traverse plus facilement la matière. Celle-ci est alors plus légère. S’il nous était possible d’aller en quatrième ou cinquième dimension, nous verrions notre poids diminuer…
J’indique, à la page 21 de mon dernier ouvrage (consultable à partir du site que je donne en référence), que la matière est essentiellement constituée de vide et rien n’empêche que plusieurs matières s’interpénètrent. J’explique la formation de différentes matières lors de la phase tumultueuse de la création de l’univers qui dure 2 milliards d’années. Je donne beaucoup plus d’informations dans mon premier ouvrage « Sciences secrètes tome 1 ». Malheureusement, celui-ci n’est pas consultable gratuitement.
Je suis cependant disposé à répondre à toute question par l’intermédiaire de ce site.
Bien amicalement.
Isaac Plotain.
Site : Art de créer le nouveau monde.
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"Il n’y a pas de séparation entre les plans." |
12 mai 2011, par Eden Desroches
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Il ne faut pas confondre plans parallèles et dimensions.
Les plans parallèles sont des plans matière dont la formation résulte de l’évolution de la matière au sein de notre univers. Par contre, les dimensions résultent de l’évolution de l’énergie primordiale depuis la Source. La fréquence de l’énergie primordiale au niveau de la Source est très élevée. Cette fréquence diminue au fur et à mesure que l’on s’éloigne. Chaque harmonique inférieure de la fréquence initiale représente une dimension. Il est ainsi possible de comprendre que le nombre de dimensions entre nous et la Source est très élevé, plusieurs centaines. Lorsque l’énergie primordiale se condense pour la première fois sous la forme de matière, nous avons le plan parallèle le plus élevé, le septième pour nous, mais pour d’autres systèmes solaires, il peut y en avoir plus.
Il est vraiment important, donc, de bien différencier « Plan parallèle » et « Dimension ».
Eden Desroches.
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