Creo que sí

J’ai rêvé de lui dans la nuit du 17 mai dernier. C’était en fait une série de rêves laissant à penser que ce n’était pas le fruit de mon imagination mais un enseignement. Chaque rêve était une étape. Chaque étape était une classe de moins en moins nombreuse. L’instruction était de plus en plus difficile à suivre. Je ne sais pas s’il y avait des classes après celle à laquelle j’ai pu accéder parce que je me suis réveillé. Il y a avait un lien de chaque étudiant avec RB, je percevais essentiellement le mien. Il était fait d’affection, de reconnaissance, de continuité, et il était autre. Cela signifie que lui RB était autre et que pour être là, celui ce "je" qui était là devant lui était aussi un autre moi même pas seulement une autre personnalité mais mais au delà la la personnalité. L’enseignement était chiffré. Il demandait un très haut niveau de compréhension scientifique, donc un gros effort. La procédure était qu’il posait des questions. C’était des tables de multiplications ( c’est vrai qu’est ce que j’ai eu du mal à les apprendre). Il me demandait combien font 9 fois 7. Cela ma réveillé avant que j’ai eu le temps de trouver et donner la réponse en me réveillant j’avais conscience qu’il me fallait retenir ces trois chiffres les 9/ 7 et leur produit.Je mets cela en rapport avec un texte qui m’est tombé sous les yeux hier "The conversation
Thierry Ripollpsychologie, philosophie, sciences cognitives, écologie, Aix-Marseille Université (AMU)"j’ai présentée récemment dans un ouvrage intitulé Pourquoi croit-on ? .
Deux modes de fonctionnement complémentaires
Nous disposons tous de deux modes de fonctionnement cognitif : analytique et intuitif. Le premier est lent, coûteux cognitivement et exige de grands efforts attentionnels. Il requiert de puiser dans ses ressources cognitives.
Il est récent d’un point de vue évolutif. Ça n’est pas une mode de traitement de l’information très naturel ou spontané. Il se renforce en proportion du niveau d’éducation.
Le second est rapide, demande peu d’efforts cognitifs, procède souvent par associations et s’appuie beaucoup sur notre mémoire. Il est quasiment irrépressible et donc s’impose à nous sans que nous puissions y résister. Il a une forte composante émotionnelle.
Prenons un exemple. Supposons que je vous demande de résoudre le problème suivant :
Une raquette de tennis et son jeu de balles valent 11 euros. La raquette de tennis vaut 10 euros de plus que le jeu de balles. Combien vaut le jeu de balles ?" Je donnerai la réponse après publication de ce commentaire. Mais cette nuit j’ai rêvé étrange encore. Je me trouvais dans un lieu spécifique confronté à un double de moi même, passé dans le même lieu quelques jours ou semaines avant, il ne fallait surtout pas que ce moi autre me voit. au réveil j’ai pensé aux théories cosmologiques de l’astrophysicien JP Petit. Théorie de Janus. Le temps se déroulait dans deux directions.

Un texte de M. OMRAM A. sur lequel je viens de tomber :Tous les Initiés qui sont parvenus au sommet
voient Melkhitsédek se manifester à eux. Car c’est le Maître qui va à la rencontre du disciple et non, comme beaucoup le croient, le disciple qui choisit son Maître. Le Maître sait qui peut être son disciple, alors que le disciple, qui souvent ne sait pas très bien ce qu’il cherche, décide de suivre un Maître qu’il abandonnera peut-être peu de temps après pour en suivre un autre, qu’il abandonnera certainement aussi... Combien se croient disciples d ’un
Maître qui, en réalité, ne les reconnaît pas !
C’est donc le supérieur qui va vers l’inférieur :
Melkhitsédek est aile à la rencontre d’Abraham pour le bénir et Abraham, qui se savait l’inférieur, lui offrit la dîme de tout. Alors Melkhitsédek initia Abraham à d’autres mystères. Abraham adorait El Chadaï, Dieu Tout-Puissant, qui correspond à la région de la séphira Iésod, et Melkhitsédek, qui était sacrificateur du Très-Haut, lui révéla Dieu précisément sous ce nom-là (en hébreu El Elion). * En effet, le Très-Haut, c’est le nom que la Kabbale a donné à la manifestation divine la plus élevée, celle qui correspond à Kéther, la première séphira.
Les autres mentions importantes de Melkhitsé-dek dans la Bible se trouvent dans l’Epître aux
Hébreux de saint Paul : « C’est ce Melkhitsédek, roi de Salem et sacrificateur du Dieu Très-Haut, qui alla au-devant d’Abraham lorsqu’il venait de la défaite des rois, qui le bénit et à qui Abraham donna la dîme de tout - qui est d’abord roi de justice d’après la signification de son nom, et ensuite roi
de Salem, c’est-à-dire roi de paix - qui est sans
père, sans mère, sans généalogie, qui n’a ni commencement de jours ni fin de vie - mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu - ce Melkhitsédek demeure sacrificateur à perpétuité. Considérez combien est grand celui auquel le patriarche Abraham donna la dîme du butin. »*
Vous direz : « Sans père ni mère ... mais com-
ment a-t-il été créé ? » Un être qui est le représentant de Dieu sur la terre est tout-puissant sur la matière. Par le pouvoir de son esprit qui est l’esprit de Dieu Lui-même, il peut à volonté se former un corps ou le désagréger. La matière lui obéit. C’est pourquoi Melkhitsédek est appelé « sacrificateur du Très-Haut ». Dans sa véritable signification spirituelle, le sacrificateur est celui qui possède le secret de la transmutation de la matière.** Car le sacrifice en réalité n’est que cela : une transformation, le passage de la matière à un état plus pur, plus lumineux. La fonction du sacrificateur du Très-Haut est la plus sublime qui puisse exister dans l’univers, car c’est lui qui présente à Dieu la quintessence la plus pure de la matière.

J’ai lu avec un intérêt immense le livre : Raymond Bernard un homme exceptionnel !
comment puis-je faire pour en recevoir un exemplaire ?
Recevez mes salutations les plus sincères !