En réponse à :
29 avril 2011, par Dazur
Aux martinets de Fès arrivés dans le ciel de Lutèce au soir de la parution de ce texte...
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"Un jour, au milieu d’un hiver dont les rigueurs extraordinaires avaient fait périr beaucoup de personnes, Martin, n’ayant que ses armes et son manteau de soldat, rencontra à la porte d’Amiens un pauvre presque nu. L’homme de Dieu, voyant ce malheureux implorer vainement la charité des passants qui s’éloignaient sans pitié, comprit que c’était à lui que Dieu (…)