Dans la préface par Tony Baillargeat du roman de Parvulesco "Dans la forêt de Fontainebleau" il dit sa foi dans l’ami et lève un peu le voile sur le mystérieux écrivain roumain :
"Je n’avais aucune peine à croire Jean Parvulesco lorsqu’il me disait avoir souvent emprunté ce chemin de traverse pour se retrouvé soudainement propulsé dans un monde Carrolien ; aucuns doutes sur la réalité de ses multiples promenades nervaliennes qu’il avaient effectué à pieds ou en pensée, dans la marge du monde. J’avais une foi inébranlable dans ses égarements diurnes ou nocturnes, au sein de cette terre (…)