En réponse à :
10 janvier, par Raymond Bernard
"Certes, tout, en ce monde, est initiation, depuis la peine légère jusqu’à l’intense joie intérieure, mais, encore une fois, c’est toujours à nous-mêmes que nous nous initions, car nous sommes le commencement et la fin sans le comprendre, jusqu’à la seconde du Fiat qui nous révèle à nous-mêmes dans notre unité, dans notre intégralité, en un mot dans l’absolu que nous sommes et que nous n’avons jamais cessé d’être."