Cher Célestin,
Vous insistez, dans cette partie de votre étude, sur un gnosticisme très « tendance Cathare », tendance que pouvait sembler manifester parfois Balzac dans ses romans, notamment à propos de l’amour des femmes.
S’il est vrai que ses héros vivent leurs amours dans la dualité : l’amour sublime pour les femmes nobles, belles, « éthérées » (Madame de Morsauf, la duchesse de Langeais), opposé à l’amour charnel pour des femmes plus « terriennes » (Lady Dudley, Paquita), Balzac, ne l’oublions pas, est aussi un « physiologiste ». On peut être gnostique, et aspirer à l’unité dans (…)