Mon très cher... Sagemond, que je suis tenté sans vergogne de tutoyer dans une fraternelle complicité... !
Vous écrivez,
« Plus tard, au soir d’un temps souvent trop court à nos yeux, nous regardons le chemin parcouru et revoyons, peut-être, les moments que nous avons perdus à courir après l’ombre, ne sachant pas encore que seule la lumière que l’on fait naître en nous est le reflet de l’Etre et qu’il nous appartient de lui donner vie et force pour, en toute humilité, retrouver en une ultime initiation la place dans la pleine lumière que nous n’avons jamais quittée.
»
Merci pour ce (…)