La nuit se fait longue, parfois... L’itinéraire est incertain... Il nous emmène là où nous ne pensions pas aller... Il nous place face à mille expériences qu’il nous fallait connaître comme autant d’ablutions purificatrices... Et la nuit, toujours... Qui, peu à peu, glisse vers la Nuit... Et la fulgurance tranquille de la Lumière qui soudain nous frappe au plus profond et résonne d’un écho qui se fait infini comme infinie nous apparaissait la grande Obscurité... Merci, Bayazid, pour le récit de cette nuit qui parle si vrai... Merci pour l’évocation de ce multiple MERCI... Merci pour le (…)