Il était l’être de lumière or et gaze du poème de Baudelaire,"L’irréparable""in Les Fleurs du Mal,1957.
"-j’ai vu parfois au fond d’un théâtre banal
Qu’enflammait l’orchestre sonore,
Une féee allumer dans un ciel infernal
Une miraculeuse aurore ;
J’ai vu parfois au fond d’un théâtre banal
Un être qui n’était que lumière, or et gaze,
Terrasser l’énorme Satan ;
Mais, mon coeur que jamais ne visite l’extase,
Est un théâtre où l’on attend
Toujours, toujours en vain, l’Etre aux ailes da gaze !