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21 mars 2010, par jp guillot
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Le matin de mon départ pour ce voyage de plusieurs mois, comme l’an dernier, j’avais mal au ventre, symptôme de l’appréhension qui précède les épreuves. Certes, ce n’était pas la première fois que je me rendais en Inde mais, comme à chaque fois, une trouille de m’y perdre, de m’y engloutir, de n’en pas revenir, me nouait. C’était bon signe : c’est quand on se lance dans l’inconnu que quelque chose peut vous arriver.
C’est ce qui s’est produit. Comme à (…)