Dans la même veine Verlaine en l’épilogue de ses poèmes Saturniens :
Libre à nos inspirés, coeurs qu’une oeillade enflamme,
D’abandonner leur êre aux vents comme un bouleau :
Pauvres gens ! l’Art n’est pas d’éparpiller son âme :
Est-elle en marbre ou non la Vénus de Milo ?
Nous donc sculptons avec le ciseau des Pensées
le bloc vierge du Beau, Paros immaculé,
Et faisons-en surgir sous nos mains empressées
Quelque pure statue au péplos étoilé...