Le texte aurait donc aurait tout aussi bien être signé par l’Ecclésiaste !
Le mot hébreux (hedel) traduit par vanité signifié vapeur, souffle : qq. chose d’inconsistant d’impermanent (contrairement à la permanence de Dieu). Et effectivement les actions de l’homme n’ont pas vocation à se comparer à la création divine. C’est pourquoi la formule de l’Ecclésiaste est suivie d’ailleurs d’un appel à se soumettre à Dieu. En terme moderne ont dirait " à lâcher son ego"