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2 mai 2020, par Bayazid
Longtemps, je me suis couché trop tard.
Le jour ne me suffisait pas. Il me fallait attendre la descente de la nuit. Avide de lectures et de musique, il me fallait rêver, écrire, créer, envisager, pour augmenter un espace toujours plus ample de découvertes.
Je ne te connaissais pas encore, Liberté !
Je t’imaginais dans mes initiatives, dans mes découvertes, dans mes voyages et dans mes retours. Je t’imaginais à la source de mes joies du corps et du cœur. Je te voyais dans le bonheur (…)