il ne s’agit pas du couvent des Ursulines à Dinan.
Quant à l’inscription en latin, très érodée il est vrai, toutes spéculations sont permises puisque à ma connaissance il n’y a rien de publié.
Toutefois, en suivant le simple bon sens et à la lumière d’autres inscriptions ainsi gravées dans la pierre sur d’autres édifices, il semblerait qu’à gauche du calice, il n’y ait que des lettres et pas de représentations symboliques.
En ce qui me concerne, je crois avoir déchiffré la première ligne (j’ai du moins une hypothèse).
L’intérêt des énigmes, c’est justement de pouvoir découvrir en (…)