Nous avons ainsi un échange que certains pourraient qualifier de sulfureux ; mais il n’en est point, car derrière nos écrits se cachent des connaissances ou des références, qui je l’avoue bien humblement, doivent être considérées au second degré et sont les repères d’une sorte d’ésotérisme mythologique. Mais la mythologie, ayant quelque chose de réel, n’est souvent pas loin justement de la réalité et même de l’actualité ! Devons-nous alors, pour être compris, faire appel à quelque chose comme la tolérance ? C’est là un bien important dilemne, car la tolérance commence en effet par (…)