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Le Père-Lachaise (où je n’ai pas remis les pieds depuis l’incinération de ma mère, il y a 4 ans) est une de mes promenades favorites à Paris. Les arbres, le calme des allées, en font un lieu propice à la méditation ambulatoire sur la destinée des grands comme des petits hommes. Mais aussi sur la vanité des pompes funèbres et l’irrémédiable effritement des concessions dites perpétuelles. Où peut-on mieux éprouver l’impermanence de tout ?
Dans Old Goa, (…)