Certes tous les gurus- d’Inde et d’ailleurs - ne sont pas affairistes et les dernières lignes du texte le soulignent. Il faut bien que tout le monde - gurus y compris - vive, mais j’ai du mal à accepter que la spiritualité fasse l’objet d’une entreprise commerciale. À mon sens, elle rime avec gratuité. C’est pour cela que j’ai tant apprécié la Vipassana de Goenka car la rigueur de la pratique, la clarté de l’enseignement, la qualité de l’encadrement ne sont pas tarifées : chacun, à l’issue de la session, contribue (selon ses moyens) ou non à son fonctionnement.
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