Pierres des extrêmes
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14 juin 2015, par Bayazi
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L’auteur de cet article supposait bien qu’en ce qui concerne « les pierres du ciel », et notamment la comète Tchouri, les avancées de la science permises par le travail de la sonde Rosetta et du robot Philae entraîneraient des débats sur les rapport entre l’esprit humain et la matière, et sur les rapports entre la science et la transcendance. Ce débat est activé surtout par les découvertes survenues à la suite de l’exploration des comètes : celles-ci contiendraient des composés organiques évolués, possiblement des acides aminés. Il est donc question du passage de la matière au vivant. Ce n’est pas rien ! Les travaux scientifiques n’en sont qu’au début, mais les chercheurs évoquent une suite de mutations progressives de la matière, depuis la formation des premiers atomes jusqu’à la biodiversité connue aujourd’hui sur la terre. Et les auteurs d’ajouter « selon une logique de sélection naturelle comme celle énoncée par Darwin ».
Plusieurs intervenants ont cité Nadia Farouki (que j’estime par ailleurs), parlant « d’un obscurantisme évolutionniste aussi fallacieux que l’obscurantisme créationniste ». La formule est malheureuse. L’auteur évoquait les guerres de tranchées entre Foi et Science, entre ceux qui veulent prouver ou infirmer l’existence de Dieu en commentant les découvertes scientifiques. Les deux camps sont effectivement dans l’obscurité en se positionnant ainsi.
Mais par ailleurs, on ne peut qualifier Darwin et ses suiveurs, avec tout ce qu’ils ont apporté à la connaissance de la vie, « d’obscurantistes ».
En tant qu’auteur de l’article, je voudrais réaffirmer les vues qui sont les miennes.
Il ne faut pas tenter de rapprocher la science et la Foi. Les scientifiques constituent une communauté que je respecte infiniment pour la rigueur de sa démarche. C’est une vaste communauté qui comprend des athées, des agnostiques et des croyants (cette croyance se positionnant dans tous les spectres de « la transcendance »). Mais quand un scientifique fait son travail, il le fait avec des méthodes scientifiques. S’il a la chance d’être inspiré inconsciemment par d’autres sources : foi, intuition, mythes, instinct…Bref, tout ce qui passe par des circuits neuronaux mettant en relations différentes parties du cerveau, et bien tant mieux ! Mais il appliquera des méthodes scientifiques pour vérifier ses hypothèses.
Par contre, lorsqu’un scientifique rêve et savoure la présence active de « la transcendance », il est dans son jardin, et tant mieux si ce jardin alimente d’autres secteurs de sa pensée pour ce qui est des directions de ses recherches. Mais les vérifications qui devront suivre se feront avec des procédures qui n’ont rien à voir avec la rêverie. G. Bachelard a beaucoup écrit sur tout cela il y a déjà longtemps.
C’est pourquoi je pense que ce que certains appellent « l’univers de la parapsychologie » n’a rien à voir dans un débat comme celui-ci.
Je ne suis pas en accord avec la citation de Pierre Servat citée par CV.
Il n’y a pas de « plan occulte de l’existence sur la face cachée du cosmos ».
Ce vocabulaire m’étonne. La face cachée, non encore connue du cosmos est obscure pour les humains, et notamment pour les chercheurs en astrophysique et en astronomie, certes.
Mais l’occulte n’a rien à voir là-dedans. Les avancées scientifiques lèveront le voile peu à peu sur ce que nous ne connaissons pas encore de l’univers, après des erreurs et des réussites, comme dans toutes entreprises humaines.
Quant à la citation suivante du même auteur : « Certes les entités supérieures ne sont pas maîtresses de l’histoire humaine qui relève de mécanismes complexes et de facteurs matériels qui leur échappent en grande partie. Mais il est probable que par l’entremise des grandes personnalités, les puissances supérieures travaillent à infléchir son cours dans un sens conforme à leurs desseins », elle m’étonne !
Tout d’abord, je doute profondément de l’existence « d’entités supérieures », ou de « puissances supérieures ». Si l’on veut parler de Dieu, on dit Dieu. Et là on peut théologiquement discuter sur le pourquoi du comment « les facteurs matériels lui échapperait en grande partie…. ». Si c’est un Dieu créateur, le Grand Architecte de l’Univers, le monde créé fait partie de son job. Si c’est le Soi Universel, une émanation de bas en haut à partir de l’humain, là on peut en discuter…Mais on quitte le sujet de mon article.
La dernière partie de la citation est -pardon- pour moi délirante au sens médical du terme : « Mais il est probable que par l’entremise des grandes personnalités, les puissances supérieures travaillent à infléchir son cours dans un sens conforme à leurs desseins. ».
Alors là, il faut rester dans le réel tout de même.
On aurait donc des entités supérieures qui, sans être Dieu himself, n’auraient pas de pouvoir sur la matière mais sur la capacité de l’infléchir ! Et tout cela par l’intermédiaire de « grandes personnalités » aux pouvoirs magiques ?
Nous n’utilisons que 15 à 20% de notre cerveau, c’est connu. Certains en utilisent une plus grande partie, c’est prouvé. Progresser sur le chemin de l’Humanité, comme progresser spirituellement, c’est aussi mieux savoir utiliser ses capacités, intellectuelles, certes, mais surtout affectives, morales, imaginatives et mémorielles (y compris la mémoire phylogénétique).
Jésus de Nazareth a été une « grande personnalité », comme d’autres prophètes de toutes religions. Il a peut-être fait des miracles, ou pas. À l’époque, c’était la mode, pour être prophète confirmé et avoir des suiveurs : il fallait faire des miracles. Personnellement, je pense que l’apport révolutionnaire de Jésus vient de sa Parole, pas de ses miracles. Ses miracles, on s’en fout (beaucoup de chrétiens l’exprime d’ailleurs). La plupart des « miracles » des guérisseurs viennent d’un effet placebo. Sous l’influence d’un sentiment de confiance, nous secrétons toutes les substances qu’il faut, y compris psychotropes, pour guérir. Tout est dans notre cerveau. Là, le Dieu créateur, s’il existe, à fait des merveilles !
Je dirais bien, pour terminer : nous avons tous les capacités de connaître, de comprendre et d’aimer la création. Nous n’avons aucune capacité d’infléchir la matière. Et pourquoi le souhaiter d’ailleurs ? Le monde créé est périssable. Notre Humanité périra, comme chacun d’entre nous, une autre prendra le relais, sur une autre planète. Renonçons à l’illusion de la puissance magique de l’Homme (fut-il une « grande personnalité »). Nous sommes dans les mains de Dieu.
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Pierres des extrêmes
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17 juin 2015, par CV
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« Ce n’est pas par accident que des fragments d’astres atteignent des sphères avoisinantes. Ils sont comme un moyen de communication. Ces signes sont négligés par la science moderne. L’important ne réside pas dans le fait qu’un aérolithe peut contenir des carats de diamant, mais dans sa signification en tant que psycho-aimant. Par ce moyen les hommes peuvent élargir la sphère de communication. Dans la future communication de la matière, cette qualité de psychomagnétisme est importante car la matière doit finalement se combiner à l’esprit, doit devenir fusible comme du verre. » Les feuille du jardin de Morya II .1925
Nous prenons en compte la réponse de Bayazid Oziam et la respectons tout à fait.
Nous aimerions nonobstant suggérer que notre jardin à nous est celui de Qui a porté le Nomen Morya, dans ce jardin bien des possibles et beaucoup de ce qui est, sera qualifié par d’autres de délirant.
Nous regrettons que la citation extraite du volume IV ( il y en a 8 plus de 400 page chacun) » l’Univers de la parapsychologie et de l’ésotérisme » non seulement soit battue en brèche totalement, mais surtout soit considérée comme étrangère au débat voulu par Oziam sur le thème de la science et de la transcendance.
Toute cette encyclopédie d’ailleurs publiée par les éditions Martinsart en 1979 est un apport immense en ce domaine, n’ayant pas d’équivalent peut être. Pierre Servat, qui lui aussi fait référence à G. Bachelard, reste dans une rationalité mais il ne s’attaque qu’à l’erreur scientiste, dogmatisme de la raison, fermeture à l’inédit, répudiant des découvertes étrangères à leur formes d’expérimentations figées. Cet obscurantisme réside justement dans le fait de vouloir je le cite « tracer une frontière infranchissable entre l’objet métaphysique et l’objet scientifique, entre ce qui est expérimentalement visible ( entendons plutôt visualisable) et ce qui ne l’est pas. »
Mais le point de vue de la révélation religieuse aussi défend cette frontière. Il me semble que les reproches que pourrait nous faire Bayazid et qu’il fait à Pierre Servat sont de la nature de ce que son livre saint dénonce comme la faute d’association, quand nous le voyons s’insurger contre la possible existence d’entités « supervisant » l’évolution terrestre et humaine. Dieu, un Dieu personnel unique et antropomorphe ne Voulant point se faire représenter ni doubler ou tripler par qui que ce soit dans Sa gestion de Son monde. Je n’aborderai pas la question des miracles, ici je le ferai peut être ailleurs sur ce site, elle est subtile, pour le coup elle sort du sujet de cet article. Puisqu’on nous parle de trigonométrie prenons justement l’exemple du triangle. Le mathématicien va l’étudier concrètement en tire la trigo, le Mahométan concentré sur l’Unique passe si je ne m’abuse son chemin sans s’attarder sur ce symbole , le chrétien médite sur la sainte Trinité, l’adepte d’écoles initiatiques va s’en servir pour visualiser la loi du triangle, à savoir le processus de la manifestation, il pourra s’en faire un outil pour aborder une infinité de questions. Or qu’est ce qui est plus vrai dans ces approches du triangle ? Ce ne sont que des approches qui ne devraient pas se comparer ni s’exclure. Chez l’homme religieux comme chez le scientifique qui réduisent la porté du mythe ou des symboles il y a en fait une sorte de refoulement que Mircéa Eliade a fort bien analysé quand il dit :
« Le rêve porte l’homme à la recherche du paradis perdu. L’espace du désir qui s’empare de l’être prend l’avant-goût pour un ailleurs, un au-delà de l’horizon. Ces indices révèlent que l’homme désire retrouver le lieu mythique. Qu’est-ce donc qui empêche l’homme de décharger ce désir ? Pourquoi le refouler ? »
Car le mythe cosmogonique raconte une histoire sacrée ayant eu lieu dans le temps primordial, il est vrai tout simplement parce que l’existence du monde est là pour le prouver.
Il y a une grande rupture dans les sciences contemporaines que les mystiques devraient apprécier et les non mystiques se laisser interroger. Par exemple lorsque Bayazid semble dire que la science suit son petit bonhomme de chemin pour aller vers la vérité, il me semble qu’il n’a peut être pas pris en compte cette rupture. Car nous dirions plutôt que c’est le scientifique lui-même qui peut aller quelque part et non la science comme si elle était extérieure à lui.
La science et sa fille la technologie sont au cœur du problème planétaire actuel.
Peut être que très bientôt nous n’aurons plus d’école pour apprendre des matières car nous aurons sur le marché si le marché existe encore, un programme pour intégrer la langue allemande en 20 minutes dans notre ADN. Mais Blanche de Richemont raconte que Vijayananda après 17 ans dans l’Himalaya à méditer seul , savait comprendre et parler l’Hindi alors qu’il n’en connaissait pas un mot en arrivant à son ermitage.. J’ai entendu des gens me dire qu’ils croyaient que certain sages Rose Croix de notre époque lisaient un livre en posant quelques secondes sur la couverture. Et en ayant connu ce sage et sa vie active on se demande comment il pouvait en effet avoir des connaissances académiques de quelqu’un qui aurait passé 90 ans dans un bibliothèque. Si cela est vrai la science s’approche de la Connaissance de façon assez biaisée voire truquée. Elle est de la magie inférieure en ce sens qu’elle n’a pas besoin de conscience pour obtenir un pouvoir. Respectons là mais ne nous laissons pas impressionner par son arrogance encore dominante à l’heure actuelle. Pour ce qui est de l’évolution il ne s’agit pas de dénigrer Darwin qui est mal connu mais d’abord de se dire que sa pensée malgré alimenté les idéologies brutales du XX e siècle, elle est sous-jacente à l’horreur économique contemporaine.
L’évolution est une question très complexe comme nous le dit encore Maître M. dans le livre déjà cité : « 244 : « Les énoncés des livres ne sont pas simples en pratique et seul un mental spécialement éclairé peut pénétrer dans la structure de l’évolution de l’homme. Bien des lances furent rompues sur cette question mais on peut demander à être éclairé. »
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Pierres des extrêmes
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10 juin 2015, par Bayazid
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En ce qui concerne les découverte de Rosseta et de son petit robot Philae sur Tchouri, la comète qui murmure, lire un compte rendu d’une émission d’Arte "Rosetta aux origines de la vie".
Avant la rencontre avec la comète de Halley en 1986, on pensait que les comètes étaient composées de CO2 (dioxyde de carbone) ou de CH4 (méthane)...Résultat : aucune des deux ! Les observations suggèrent que les comètes contiennent des composés organiques beaucoup plus évolués, possiblement des acides aminés. ….
Le passage de l’inerte au vivant a longtemps été considéré comme une transformation mystérieuse de la matière, un phénomène énigmatique... À tel point que cette frontière a séparé, d’un côté la chimie qui s’intéresse à la matière inerte, et de l’autrela biologie, qui s’intéresse aux corps vivants.
Aujourd’hui, les découvertes astronomiques remettent profondément en cause cette scission. L’apparition de la vie ne se serait pas faite en une seule étape extraordinaire, mais découlerait d’une suite de mutations progressives de la matière, qui suivrait la logique de la sélection naturelle énoncée par Darwin, depuis la formation des premiers atomes jusqu’à la biodiversité connue aujourd’hui sur Terre.
http://future.arte.tv/fr/rosetta#.VXQZvJIr4E4.mailto
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Pierres des extrêmes
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11 juin 2015, par CV
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Un entretien avec le spationaute Jean-François Clervoy dans ’L’Express" N°3336 fait sourire quand il dit :" Philaë, c’est une histoire à rebondissements. un feuilleton à plusieurs épisodes." En tout cas l’homme se projette dans l’espace, c’est une aventure riche d’extensions de consciences pour preuve le sucés des films Gravity, Interstellar, l’engouement pour les missions de ce genre. A suivre la sonde américaine New Horizons qui se dirige en direction de Pluton soit à 5 milliards de kilomètres de la terre. Pour répondre à Bayazid, c’est une vaste, passionnante et très complexe question que celle du passage de l’inerte au vivant. La science sort de certaines ornières en devinant grâce à une meilleure connaissance des comètes un processus en diverses étapes, évolution non pas radicale et passage unique mais pas non plus dépendante de lois du hasard et de la nécessité ou de compétition selon Darwin. Evolution dirigée par l’esprit en tout cas spécialement actuellement le 7 ème rayon selon l’enseignement du Tibétain. www.le-tibetain.com/traite-les-sept... En référence avec l’illustration de cet article :
. Au point de vue de la matière extérieure, le règne minéral est l’expression la plus dense de la vie de Dieu dans la substance et sa caractéristique éminente, quoique souvent non réalisée, est celle du pouvoir emprisonné ou inexprimé. Symboliquement, un volcan en éruption est une faible expression de ce pouvoir
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12 juin 2015, par Damballa
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"Sciences et Avenir", plus exactement Dominique Leglu rencontre Nalya Farouki N°731 janvier 2013. Professeur de philosophie et d’histoire des sciences elle a travaillé avec Michel Serres. Elle est aussi l’auteur de "La foi et la raison, histoire d’un malentendu " édité chez Flammarion. On lui pose une question sur les créationnistes, elle rétorque : " Malheureusement en face de l’obscurantisme créationniste, il y a un obscurantisme évolutionniste. On retrouve encore une fois la guerre des tribus : celle des biologises qui tiennent à tout prix à ce que la biologie vienne démontrer que Dieu n’existe pas, ce qui dépasse de loin les limites de la connaissance scientifique, et la tribu de ceux qui clament l’existence de Dieu en relisant la biologie comme ils le désirent ! Ni la science ni le monothéisme ne sont responsables de ces collectifs archaïques entrés en guerre les uns avec les autres."
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12 juin 2015, par Bayazid
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Je suis tout à fait d’accord avec Nalia Farouki, l’amie de Michel Serres. Je pourrais faire mienne ses paroles.
La science "nous fait sortir de certaine ornières", je dirais volontiers à CV. Le processus d’évolution de la matière vers la vie reste une grande aventure de la recherche scientifique et aussi de l’esprit, oui pourquoi pas ? Bien des traditions ont su "découvrir" certains éléments de l’univers sans nos moyens contemporains (je pense aux Dogons notamment, qui aurait utilisé -comme les Egyptiens- la trigonométrie pour découvrir l’existence de satellites de Sirius).
Ce sont les causes et les processus des transformations de la matière qui donnent lieu à la vie, qui, pour le moment, ne sont pas encore découverts. On est dans le domaine des hypothèses. J’aime les hypothèses scientifiques. Elles me font beaucoup plus rêver que les "certitudes" de la foi, croyances que l’homme est suffisamment tout puissant pour avoir accès à des vérités sans avoir besoin de travailler, sans avoir la patience de "caresser" les hypothèses, sans avoir accès au plaisir du mystère. Désolé, pas d’accès au lien sur les tibetains.....
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Pierres des extrêmes
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13 juin 2015, par CV
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Vous appréciez Nalya Farouki l’historienne des sciences d’origine Libanaise, Bayazid,je suis heureux de cette connivence entre nous. Pour elle, le vrai scientifique fidèle à la règle pythagoricienne du tiers exclus doit savoir admettre en permanence les limites du système dans lequel il énonce une vérité afin de pouvoir inventer d’autres systèmes ayant leur cohérence interne.
Dans l’entretien accordé à la revue citée, l’essentiel me semble tenir dans sa redéfinition du croire :
« Le mot amn, aussi bien en hébreux qu’en arabe, à l’origine de croire, signifie faire confiance. Le croire actuel a supprimé cette idée de faire confiance à Dieu, qui implique une démarche difficile, , rationnelle et éthique consistant à aller vers la transcendance. N’a été conservé qu’une sorte de subjectivisme mou. »
Certes les Dogons ont une connaissance de Sirius , c’est la preuve que se sont de bons Franc Maçons..
A mesure que la FM va s’alléger de ses ajouts ou apports judéo-chrétiens des loges bleues ou des HG, elle va reviendra à la source et va peut être s’inspirer des tradition des Dogons....
Je fais encore référence avec l’enseignement du Tibétain enseignements sur les 7 rayons et Sirius :
http://www.le-tibetain.com/traite-l...
je ne sais pas pourquoi la page donnée n’est pas accessible je vous redonne :
http://www.le-tibetain.com/les-sept...
si cela ne marche pas aller sur le site www.le-tibetain.com : dans l’article Le règne minéral.
Pour ma part dans la question de la marche de la science en rapport avec le religieux, je crois qu’il est préférable d’en revenir à la notion de mythe qui englobe le religieux et d’y penser dans son rapport à la rationalité comme le fit par exemple Pierre Servat dans son chapitre « rationalité du mythe et le problème de la communication » dans : L’Univers de la parapsychologie et de l’ésotérisme dirigée par Jean-Louis Victor. Je site un passage très dense :
« Affirmer que le mythe recèle une révélation sur un plan occulte de l’existence sur la face cachée du cosmos, revient à affirmer qu’il ne saurait être une pure construction de l’esprit, voire même de l’inconscient humain, qu’il n’est pas totalement de l’ordre du l’imagination, de l’intuition,mais qu’il relève de la divination, de l’initiation, voire de la voyance ». Et alors que nous nous posons la question de savoir si la Vie est dirigée c’est aussi la question qui se pose à l’histoire humaine, la conclusion de l’auteur en la matière est inspirante d’autant plus que je ferai un parallèle justement avec l’évolution de la matière au vivant elle même dirigée mais non sans doute absolument contrôlée par des êtres ou hiérarchies supérieures :
« Certes les entités supérieures ne sont pas maîtresses de l’histoire humaine qui relève de mécanisme complexes et de facteurs matériels qui leur échappent en grande partie. Mais il est probable que par l’entremise des grandes personnalités, les puissances supérieures travaillent à infléchir son cours dans un sens conforme à leur desseins. »
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Pierres des extrêmes
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19 juin 2015
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Juste quand on en parle. Qui a fait une visualisation d’enfer ? Il y a des sujets parapsy doués dans les parages !
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Pierres des extrêmes
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22 juin 2015, par Bayazid
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Dans la psychologie analytique développée par Carl Gustav Jung, la synchronicité est l’occurrence simultanée d’au moins deux événements qui ne présentent pas de lien de causalité, mais dont l’association prend un sens pour la personne qui les perçoit.
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Pierres des extrêmes
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5 juin 2015
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Merci pour Igor Stravinsky au passage. Vous pouviez aussi nous mettre Zvezvodikiy, le roi des étoiles, celui qui a le visage comme une étoile.https://www.youtube.com/watch?v=cUg...
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Pierres des extrêmes
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5 juin 2015, par M. de s.s.
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Pour rappel la comète 67P/ TG porte les noms de ses découveurs de Kiev en 1969,Tchourioumov-Guérassimenko à l’époque russes et aujourd’hui Ukrainiens.. A un demi millards de kilomètres de distance de la terre entre mars et jupiter à 30 fois la distance de la terre et du soleil, la géopolitique de Gaïa nous suit. Il parâit aussi que Rosetta et son petit robot ont eu à négocier des taxes sur les résidences secondaires, mais ce n’est peut être pas de source sûre. En tout cas quelle aventure ce petit robot atterisseur Philaë qui fait des bonds finit une patte en l’air..! .Les savants ont été très surpris par la diversité géologique découverte sur la comète que les photos et analyses ont révélées. En particulier de l’eau de la comète contient plus de déterium que l’eau terrestre ce qui infirmerait l’hypothèse selon laquelle l’eau terrestre viendrait des comètes. Ils ont partagé le gros caillou en forme de canard ou plutôt son noyau en 19 régions portant des noms de la mythologie Egyptienne.
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Pierres des extrêmes
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18 juin 2015
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Au sujet de l’eau sur le comète, quelle conclusion à tirer si elle est différente de celle trouvée sur terre ? Surtout que l’ on sait depuis 2010 par l’Institut de biologie structurale ( unité mixte CEA/CNRS/Université J Fourier/ que la vie peut se développer sans eau. Il ont mis au point une naohybride capable de conserver les caractères fonctionnels d’une protéïne privée d’eau.
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Pierres des extrêmes
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5 juin 2015, par Manduka
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Bravo Oziam. Les photos sont très belles. Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut et vase verci. Entièrement d’accord.
Pas impressionnées par le chant de la comète, nous les grenouilles rieuses ont sait faire ça.
https://www.youtube.com/watch?v=Efz...
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