Le tétragramme de la chapelle du château de Versailles
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24 juin 2013, par anytyss
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ce tétragramme YHWH ce traduit par Yahweh ou plus couramment Jéhovah et ne doit pas être caché au gens mais bien au contraire glorifié car c’est quand même le nom de Dieu et Il veut que sont nom soit glorifié sur toute la terre comme le démontre la prière du notre père qui dit " que ton nom soit sanctifié" en Matthieu 6:9
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Le tétragramme de la chapelle du château de Versailles
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31 mars 2008, par Azalaïs
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Pour ma part, j’utilise plutôt le Kyrie Eleison qui roule comme un torrent sur les pierres de la vie... et j’ai longtemps chanté dans un choeur liturgique. J’ai fait partie aussi des élèves de Iegor reznikoff. Ma voix n’est plus ce qu’elle fut, la mémoire technique est toujours là...
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Le tétragramme de la chapelle du château de Versailles
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26 novembre 2011, par Denis Lussier
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Bonjour,
Le Kyrie Eleison n’a absolument rien à voir avec le Nom de Dieu. KE (signifie « Seigneur, prends pitié » ). C’est la louange d’un titre honorifique. D’où la question : quel Seigneur ?
C’est comme dire : « Président, prends pitié » Quel "Président ?" Il y en a des tonnes. (Comme il y a des tonnes de "Seigneurs", ou, qui s’y prennent pour tel !).
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Le tétragramme de la chapelle du château de Versailles
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31 mars 2008, par KARL
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J’ai lu quelque part ...
Dans la grande tradition seul prêtre connaissait le nom imprononçable de Dieu. Le nom a été écrit sur un tableau caché que seul le grand prêtre pouvait savoir.
Quand Caïphe (Caifa) est vidé avant Jésus (on dit) qu’il a fait, car il savait également le nom ... Si Jesus aussi connaissait... cessé le prérogative du grand prêtre ...
P.S. J’apprécie beaucoup l’humour des Aïon
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Le tétragramme de la chapelle du château de Versailles
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5 juin 2010, par D Lussier
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Tous savaient lire.
Chez les Hébreux, tous connaisaient le nom de Dieu : Cela apparait 8 000 fois dans les Écritures. Tous les jours de sabats, ça lisaient et discutaient des rouleaux. Du grand-prêtre au cultivateur, pour tous, le tétragramme était transparent.
Selon des découverte arhéologiques, dans des factures ordinaires (vente de salade ou d’un bloc de roche) le nom de Dieu y était incorporé.
La connaissance propre au G-prêtre est apparu plus tard, x sciècles plus tard, sous forme de superstitions non- scripurales.
Site : tous savaient lire
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Le tétragramme de la chapelle du château de Versailles
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5 juin 2010, par KARL
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Eh bien, je suis d’accord. Qu’est-ce que je voulais dire par la loi et que « vrai » nom de Dieu a été écrit sur une tablette et conservé dans un tabernacle. Seulement Caïphe il connaissait. Entendre le vrai nom prononcé par Jésus lui fit déchirer ses vêtements ...
Bien sûr, cela est une légende urbaine et chrétienne ...
Cependant je suis d’accord tous savaient lire.
OK ?
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Le tétragramme de la chapelle du château de Versailles
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6 juin 2010, par KARL
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Cependant, seule Caïphe "a eu accès" à la tablette, a ce tablette particulier ...
Cordialement
Karl
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Le tétragramme de la chapelle du château de Versailles
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30 mars 2008, par Azalaïs
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Si le Nom ne se prononce pas, c’est qu’il n’est pas fait de consonnes mais de semi-voyelles qui sont des souffles ou des modulations du souffle par l’ouverture des lèvres et du palais. En d’autres termes, Dieu ne se parle pas, Il se respire dans la colonne d’air intérieure. Mais n’oublions pas que ce souffle jaillit du Buisson Ardent, d’un feu qui illumine et sans doute réchauffe sans consumer, d’un feu qui est présence. C’est ce feu dont parle l’Apôtre quand il dit que, au jour de la résurrection, tous seront changés comme au travers du feu.
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Le tétragramme de la chapelle du château de Versailles
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30 mars 2008, par Bayazid
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Quelle coïncidence, Azalaïs ! Au moment où vous adressez ce message à Aïon, j’allais faire une intervention sur le même thème ! En tant que chanteur, je sais et vis ce dont vous parlez : " Dieu se respire dans la colonne d’air intérieure" !
YYYYHHHHVVVVHHHH est un grand souffle modulé d’une voyelle à l’autre.
C’est bien un son primordial fait de feu et d’air.
Mais juste après ce son, on peut envisager de compléter son effet par le dikhr (l’invocation répété du nom d’Allah, dont les soufis font une pratique d’amour méditative et intense).
Car juste après le souffle modulé de YYYYHHHHVVVVHHHH, on peut poursuivre le souffle qui vient du fond de la poitrine (l’équivalent du KH en langue arabe) pour sortir la voyelle A et enfin, les labiales. Les deux LL avant le AH final, "soufflé" lui aussi, plus court.
Dans la formule LA ILAHA ILLA’LLAH (il n’y a de Dieu que Dieu), l’effet est encore multiplié, et le dikhr devient au fil du temps de prière du miel dans la bouche.
Quant au son OM ("OM MANI PADME HUM" du Bouddhisme), il complète bien les deux autres.
Il a pour particularité de pouvoir se faire bouche fermée, larynx ouvert, il devient un son intérieur, et en même temps il sonne dans les résonnateurs.
Ces trois sons d’invocation, de méditation, d’amour et de prière se complètent.
Que nos frères juifs, chrétiens, musulmans et bouddhistes accueillent en vraie fraternité mes paroles !
;-)
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Le tétragramme de la chapelle du château de Versailles
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12 juillet 2013, par Elias Bouez
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Le WAW sémitique n’est pas un W Latin ! Il faut lui donner sa valeur orientale et lire : YAHOUWEH qui veut dire tout simplement Ce Lui , le Dieu de leurs pères ... Ce n’est pas donc un nom propre du Dieu de Moïse. Ce Dieu n’avait pas l’intention de donner son nom en disant d’abord : Je suis qui que je suis et il n’y a pas de raison à ce qu’il change d’avis à la phrase suivante en dictant à son messager les paroles qu’il devait rapporter : Tu leur parleras ainsi ... Ce Lui est une lecture aussi valable que Adonaï ou autre et en plus elle est plus proche et même identique au tetragramme lui- même. E.B. Du Liban .
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